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Valence Km 0566
Valence, La porte du Midi.
Préfecture de la Drôme, Valence est la ville
la plus peuplée du département.
Simple camp militaire romain au 1er siècle
av. J.-C, le site de Valence n’est réellement
occupé qu’après la conquête des
Gaules par Jules César qui fait du couloir rhodanien
un axe de communication Nord-Sud essentiel, reliant les nouvelles
possessions romaines à la mer Méditerranée
(création de la voie Agrippa en 27 avant J.-C).
De nombreuses colonies y sont fondées, dont Valentia,
nom latin signifiant La Vaillante, La Vigoureuse.
Valentia se positionne rapidement comme étant le plus
vaste carrefour de voies romaines, après Lyon.
Avec son importance grandissante, le site accède au
statut de colonie romaine.
Au fil des siècles, la ville prend de l'ampleur et
s'agrandit.
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Aujourd'hui, de nombreux vestiges de l’époque
médiévale, de la Renaissance, mais aussi des XVIIe siècle,
XVIIIe siècle et XIXe siècle sont visibles dans le centre-ville.
La ville est historiquement rattachée au Dauphiné, dont
elle forme la deuxième plus grande ville après Grenoble
et fait aujourd'hui partie du réseau des Villes et Pays d'art
et d'histoire.
Valence occupe une position clef, au centre de la vallée
du Rhône. Située sur un carrefour important de réseaux
routiers, elle est notamment connue pour être un point de passage
des vacanciers qui se dirigent vers la Côte d'Azur.
L'autoroute A7 la relie à Lyon (100 km au nord), à Avignon
(120 km au sud), puis à Marseille (220 km au sud). L'autoroute
A49 la relie à Grenoble (95 km au nord-est) via la route nationale
532 (RN 532). L'autoroute A41 la relie à la Savoie (Chambéry
et Annecy ; respectivement à 158 km et 206 km au nord-est)
via l'A49.
Les relations avec les villes du Massif central sont plus difficiles
: les routes sont très sinueuses et peuvent être inaccessibles
en hiver à cause de la neige.
Par exemple, l'itinéraire le plus court pour accéder
à Saint-Étienne passe par le col de la République
(ex-RN 82).
Sources et extraits : wikipédia
Les divers tracés de la nationale 7 dans
Valence.
A l'origine, l'itinéraire de la RN 7 traversait
la ville du nord au sud en passant par les grands boulevards mais
aussi par l'étroite rue Victor-Hugo, en direction du sud.
Après guerre devant un trafic routier de plus en plus important,
se pose la question d'un nouvel itinéraire.
La municipalité envisage alors un passage par les bords du
Rhône, d'autant que la toute récente Compagnie Nationale
Du Rhône (CNR) entreprend des travaux d'aménagement et
de régulation du cours du fleuve.
Ce second tracé sera ouvert au trafic routier en 1956. Il débute
au niveau du pont de Valence (futur Pont Frédéric Mistral).
En 1963, est ouverte la section de l'autoroute du Soleil reliant Valence
nord à Valence sud. La section Valence sud se termine à
hauteur du pont de Valence, là où débute la N7
version 1956.
En 1966, est ouverte la section Valence sud - Montélimar nord.
Avec la mise en place de la numérotation autoroutière,
cette future longue liaison devient l'A7.
Plan du guide rouge Michelin en 1957.
Jusqu'en 1956 la traversée débute au nord (I)
et se termine au sud (IV)
En 1956, le tracé est dévié vers les berges
du Rhône (IV rn7) |
Plan du Guide rouge Michelin en 1967.
En 1963, la section Valence nord à Valence sud (pont),
de l'autoroute A7 est en service.
En 1966, la section Valence sud (pont ) à Montélimar,
de l'autoroute A7 est en service.
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À Valence se situe une récente et substantielle
modification du tracé.
Alors que l'itinéraire de la RN 7 était plus ou moins
coincé entre le Rhône, l'autoroute A7 et la ville, l'achèvement
du lien RN 7 Nord – RN 532 sur le tronçon nord du périphérique
Valentinois (sur la commune de Bourg Lès Valence), permit de
finaliser le contournement intégral de la ville de Valence
en 2×2 voies, formant ainsi une demi-boucle du nord au sud en
passant par l'est.
Il s'en est suivi un changement de tracé de la RN 7 qui passe
désormais par le périphérique, incorporant au
passage la RN 532.
L'ancienne traversée a été renumérotée
RN 2007 avant d'être déclassée en 2006 en D2007n.
Il s'agit de la dernière rectification de tracé d'importance
survenue avant la réforme de 2005.
Sources :
http://www.valence.fr/fr/index.html
http://routes.wikia.com/wiki/Autoroute_française_A7
https://fr.wikipedia.org/wiki/Autoroute_A7_(France)
Aujourd'hui, suivre le tracé originel de la route
nationale à travers Valence, s'avérera ardu, voir impossible.
Pas question effectivement de le suivre dans son intégralité,
si vous êtes motorisé.
Les rues devenues à sens unique, pour certaines piétonnières,
auront tôt fait de vous balader hors des quartiers concernés.
Abandonnons la voiture un instant et suivons ce qui fut le premier
itinéraire de la route nationale 7, jusqu'en 1956 environ.
Itinéraire de la 1ère traversée de
Valence |
La traversée de Valence, Chapitre
1
En route -
Le rond point marque la limite entre Bourg Lès
Valence et la ville de Valence.
Poursuivons dans le même axe que l'avenue Jean Jaurès
et engageons nous dans l'avenue Sadi Carnot.
L'avenue Sadi Carnot, dans sa première partie,
conserve un peu l'ambiance d'autrefois.
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La rue est aujourd'hui en sens unique, à une
voie centrale, bordée de places de parking et d'une piste cyclable.
Hormis cette petite touche de modernité la rue a conservée
une bonne partie de ses vieilles maisons avec balcons et garde corps
en ferronnerie.
Quelques immeubles se sont tout de même immiscés au milieu
du quartier-rue, mais hélas sans aucune unité architecturale.
L'avenue Sadi Carnot, dans sa seconde partie. Les Champs Elysées
Valençois.
La voie s'élargit pour devenir subitement une
artère importante longeant de larges terre-pleins piétonniers,
des parvis arborés. (Attention au sens unique)
Nous sommes sur les grands boulevards, paradis de la flânerie,
des terrasses de café ombragées, des fontaines et des
commerces.
Les boulevards rénovés en 2010 proposent de larges espaces
de promenade tracés sur l'ancien emplacement des remparts et
bordés d'immeubles pour certains de style Haussmannien.
Une enseigne délicieusement vintage émerge de l'avenue
Sadi Carnot.
Au pied de l'hôtel, le Bar L'Oasis, dans son jus depuis 1959.
Passage devant le bar L'Oasis. Une adresse Vintage,
puisque l'établissement ouvert en 1959, est resté dans
son jus.
N'hésitez pas à y entrer pour le plaisir d'une remontée
dans le temps.
Pour en savoir plus :
http://astudejaoublie.blogspot.fr/2014/01/valence-oasis-cafe-c-martin.html
On poursuit par l'avenue Félix Faure, parfaite
continuité de l'avenue Sadi Carnot.
Avenue Félix Faure. La concession Renault est devenue une
boîte d'Intérim. Image réactive.
Un coup d’œil sur la gauche, pour apercevoir
l'antique façade art-déco du cinéma "Le
Palace", inauguré en 1915.
Le cinéma mono salle, avec balcon est converti en 1976 en complexe
de 6 salles.
A l'aube des années 2000, le cinéma ne
résiste pas à la concurrence des multiplexes installés
à la périphérie de la ville.
Racheté puis Rebaptisé le "Navire", il est
transformé en 5 salles de cinéma art et essai et retrouve
ainsi une nouvelle jeunesse, au cœur de la ville.
http://www.salles-cinema.com/actualites/cinema-independant-navire-valence
Ancienne place Madier de Montjau, on aperçoit la façade
du Palace. Image réactive.
Impossible, bien entendu, de reconnaître ici les
anciennes places centrales, larges esplanades qui à l'époque
faisaient la part belle aux automobiles.
Le quartier a été entièrement réaménagé,
véritable métamorphose privilégiant l'espace
piétonnier tout au long de ce linéaire design, pour
le plus grand plaisir de la population Valentinoise, mais au détriment
des automobilistes.
Reconnaissons le, c'est tout de même une belle réussite.
La fontaine Monumentale. Image réactive.
Notre route poursuit son trajet le long des grands Boulevards.
A droite voici les boulevards Général de Gaulle et Bancel.
A l'angle des boulevards Félix Faure et Général
de Gaulle, vous aurez repéré la fontaine monumentale
datant de 1887, œuvre de l'architecte Eugène Poitoux.
Pour mieux s'intégrer aux nouvelles perspectives des boulevards
rénovés, la fontaine fut restaurée en 2005 et
déplacée de quelques mètres.
Belle perspective sur le boulevard du Général de
Gaulle et la place de la République. Au premier plan la Fontaine
Monumentale.
Boulevard Bancel. Même lieu. Image réactive.
Rond-point supprimé, trottoirs élargis, chaussées
réduites, difficile de reconnaître les lieux.
Au milieu du boulevard Charles De Gaulle, à hauteur
de la place de la République, la route nationale 7 tournait
subitement à gauche, pour emprunter l'avenue Victor Hugo. (tracé
rouge ci-dessous)
Lorsque la rue Victor Hugo fut partiellement mise en sens unique,
l'itinéraire dut contourner l'imposant bâtiment situé
sur la gauche (Ex- hôtel de la Croix d'Or) en longeant l'Esplanade
du Champ de Mars. (tracé jaune ci-dessus)
Aujourd'hui la première partie de l'avenue Victor Hugo est
transformée en rue piétonne, et vous obligera toujours
à faire ce détour.
Vu de la nationale 7, le Kiosque Peynet, un romantisme à
la française.
Ce détour sera l'occasion de découvrir
en réel, le Kiosque Peynet...???... Et bien oui, " Les
Amoureux de Peynet " c'est ici ! Sur le Champ de Mars !
Le kiosque à musique crée par l’architecte
Poitoux en 1890, devient célèbre en 1942 grâce
à l’illustrateur Raymond Peynet.
De passage à Valence il dessine le kiosque à musique,
le violoniste et une spectatrice : les amoureux de Peynet viennent
de naître et l'illustration va faire le tour du monde.
Le couple des Amoureux de Peynet connaît un succès immédiat
et fait très vite partie du patrimoine de l’imagerie
populaire.
Devenu célèbre, Peynet revint à Valence en 1966
pour baptiser le pavillon qui porte désormais son nom.
Le monument est classé monument historique en 1982.
Source et extraits : http://www.kiosque-peynet.com
Les amoureux du kiosque de Valence. Illustration
Peynet
En route -
Retrouvons l'avenue Victor Hugo, qui dans le sens des
retours, débouchait directement sur la place de la République.
Au premier plan, la place de la république et son rond-point
au débouché de l'avenue Victor Hugo, dans le sens des
retours de vacances.
Image réactive.
Traversée de l'avenue Victor Hugo |
L'avenue Victor Hugo, n'est en fait qu' une
étroite rue longiligne d'environ 3 km.
Si, jusqu'au croisement avec l'avenue Pierre Sémard,
la voie présente encore quelques intérêts
nostalgiques et commerçants, la suite n'est qu'une
longue échappée vers la sortie de la ville,
au travers d'un morne faubourg, que seuls quelques commerces
éparses égayent un peu aujourd'hui. La vie de
ce quartier-rue s'en est allée il y a de cela plusieurs
dizaines d'années maintenant.
L'avenue Victor Hugo au carrefour avec l'avenue Pierre
Semard, vue en direction de la place de la République.
Image réactive.
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Difficile aujourd'hui d'imaginer l'ambiance du lieu
: des commerces abondant le long de la voie, épiceries, cafés,
tabacs, journaux, garages de quartier, quincailleries, et autres boutiques
d'électroménager.
Des gamins traversant la chaussée, sans trop se soucier du
trafic, et les soirs d'été, lorsqu'il n'y avait rien
à la télévision, une population qui aimait à
s'installer sur des chaises le long de la voie, afin d'admirer les
derniers modèles de voitures en partance pour la Côte
d'Azur. Souvenirs désuets..
Après le restaurant étoilé de Michel
Chabran, à Pont de l'Isère, voici, au beau milieu des
immeubles de quartier, le second établissement gastronomique
de notre étape.
Tout d'abord à hauteur du n° 210 de la rue, en coin, presque
insoupçonnable, l'épicerie fine d'Anne Sophie Pic, puis
quelques mètres plus loin, le restaurant de la maison PIC,
à la façade très sobre aux couleurs gris et rose.
Trois étoiles au Guide Michelin en 2017.
La maison Pic, avenue Victor Hugo. Photo Claude.K-2016.
"1934, 1973, 2007, Après André
et Jacques, Anne-Sophie atteint l'excellence et confirme que l'histoire
de la famille Pic est aussi celle de la plus grande cuisine.
Toujours le même souci de la perfection, du meilleur produit
et de l'assemblage inédit - à la pointe du goût
de l'époque.
Impeccable et impeccablement servi ". Le mot de l'inspecteur
2017 guide Michelin.
Quelques centaines de mètres plus loin, au carrefour
avec l'avenue Maurice Faure, voici, pour les amateurs d'architecture
art-déco, le Relais du Sud, ancienne station Antar.
Symbole des grandes stations service des années 1930.
Durant les années 50
Le long de la Nationale 7 sont construites
de nombreuses stations essence.
Il en reste quelques-unes aujourd'hui dont celle de Valence
: le Relais du Sud.
Comme bon nombre des postes d'essence des années 1930-50,
il domine la Nationale 7 de son architecture représentative
de la vie moderne liée au monde des transports.
Nouveau champ d'expérience architecturale, la station-service
adopte un accès facile à l'angle de deux rues,
la couleur blanche pour accrocher le regard et une flèche-signal
à ailettes repérable de loin.
Construite en 1937 au carrefour des avenues Victor-Hugo et
Maurice Faure par l'architecte Henri Garin, elle fait référence
à l'industrie automobile par un jeu de courbes longilignes,
mais également par son architecture aérodynamique
et ses hublots d'auvent en forme de proue de navire.
À cela s'ajoutent certaines trouvailles purement modernistes,
comme les colonnes en béton armé sans base ni
chapiteau. Cet ensemble comportait aussi un garage fonctionnel
et un lieu de convivialité (bar, hôtel, restaurant)
d'une architecture plus courante, destiné à
faire patienter les voyageurs le temps d'une révision,
d'une réparation ou d'une pause
Extrait : Voir Valence, magazine d'information
municipale n° 16 janvier 2017.
Les Globes, rappellent ceux des édicules Guimard,
aux entrées du métro Parisien.
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Ne cherchez pas un quelconque point commun entre le nom de cet
Hôtel et le fameux titre des Eagles. Il n'y en a pas !
L'hôtel California, aujourd'hui toujours en activité
L'avenue Victor Hugo se termine au niveau du méga
échangeur du périphérique sud.
De là, toutes les possibilités sont envisageables :
Vers l'autoroute A7, vers la nationale 7, dernière ou ancienne
version, mais également version intermédiaire. Alternative
à laquelle nous allons maintenant nous atteler.
Valence Sud et l'échangeur périphérique.
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La traversée
de Valence, Chapitre 2
En 1955, Charles Trenet, chante la Nationale 7,
la route joyeuse....
Si à l'époque, "parcourir la
Nationale 7, c’était traverser une diversité
de paysages, c’était aussi développer des
trésors de patience face aux bouchons interminables.
Valence faisait partie de ces goulots d’étranglement
sur la route des vacances.
La traversée de la capitale de la Drôme était
fastidieuse, se faisant sur les grands axes du centre-ville
au milieu d’une circulation dense.
La N7 passait ainsi par les boulevards et l’étroite
rue Victor-Hugo.
« Les caractéristiques de la RN7
dans la traversée de Valence sont nettement insuffisantes
pour les besoins actuels du trafic, surtout dans la partie sud
de l’itinéraire », explique le secrétaire
général aux travaux publics en 1947.
Pour y remédier, des réflexions de détournement
sont entreprises.
Un premier projet prévoit notamment une grande déviation
par l’est de la ville. (Note : ce projet s'échelonnera
par tronçons de 1963 à 2004)
Mais en 1955, un autre avant-projet prévoit la déviation
de la route nationale vers les rives du Rhône.
C'est ce projet qui sera finalement retenu.
En 1956, la N7 longe ainsi le Rhône (actuelle
D2007n) du Pont de Valence, en direction du sud jusqu'au tracé
original qui suit la voie romaine jusqu'à Montélimar..
Vers les années 1970, la N7 coincée entre le fleuve,
l’autoroute et la Ville, est prolongée toujours
le long du Rhône, vers le nord de Valence intégrant
le contournement de Bourg Lès Valence.
En 2004 la nationale 7 abandonne définitivement les rives
du Rhône et contourne désormais l'agglomération
de Valence par la récente rocade Est.
En route -
Retour à l'entrée de Valence.
A la sortie de Bourg Lès Valence, le parcours
restait identique par les boulevards Sadi Carnot, Felix Faure,
Bancel, et De Gaulle, mais au lieu d'emprunter l'étroite
avenue Victor Hugo à gauche, on poursuivait tout droit
en direction du Rhône, en passant devant le grand Hôtel
de la Croix d'Or par l'avenue Gambetta qui mène au pont
Frédéric Mistral.
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La place de la République, l'avenue Gambetta et l'Hôtel
de la Croix d'Or.
Désormais, en 1956, la Nationale 7 n'emprunte plus la Rue Victor
Hugo, mais passe devant la façade de l'hôtel en direction
du Rhône.
Le pont de Valence, sur le Rhône
- En 1948 l'ancien pont de pierre est toujours en place
(haut), mais interdit à la circulation, remplacé
par une passerelle provisoire (bas). Nulle trace de la RN7.
- A partir de 1956 la RN7 possède sa déviation
sud, qui débute ici au niveau du pont. En 1950, le
vieux pont est détruit. La passerelle subsistera jusqu'en
1967.
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Le tout nouveau pont Frédéric Mistral
construit de 1965 à 1967, remplace un ancien pont de pierre
fortement fragilisé par les deux guerres mondiales, lui même
remplacé par une passerelle provisoire de 1949 à 1967.
Le vieux pont de pierre sera finalement détruit au milieu des
années 1950.
Le nouveau Pont Frédéric Mistral.
Attention à ne pas franchir le pont, la route
nationale 7 passe en dessous, coincée et surplombée
par l'autoroute du soleil.
Tracé post 1956 de la route nationale 7, vue du pont
de Valence, avant l'arrivée de l'autoroute. /actuellement.
Image réactive.
A partir du début des années 1960, l'autoroute s'ajoute
à la route nationale 7 le long des berges du Rhône.
Image réactive.
La nationale 7, aujourd'hui D2007n, coincée entre ville et
autoroute A7.
Le coin n'est pas vraiment glamour, mais il a le mérite
de nous amener jusqu'à l'échangeur Sud assez rapidement.
Au sud de Valence, la multiplication des échangeurs routiers
a d'autant augmenté le nombre de délaissés.
Dans la zone industrielle, on devine encore par endroit le passage
de la vieille route, délaissés aujourd'hui oubliés
au profit des très nombreux giratoires.
Ne vous laissez pas surprendre. Nous sommes à la jonction de
plusieurs routes, dont notre nationale 7 originelle qui débouche
de l'avenue Victor Hugo.
Pas de panique, ne vous laisser pas avoir par votre GPS.... une seule
direction est à suivre .... Portes lès Valence par la
D7.
Echangeur Périphérique Sud.
Premier itinéraire au débouché de l'avenue Victor
Hugo (rouge)
Itinéraire post 1955, (jaune)
Si vous n'avez pas trouvé ce panneau...c'est que vous vous
êtes perdus.